Le bouillon, en tant qu'agent tonique et cicatrisant, est connu de l'humanité depuis longtemps. Même Avicenne l'a mentionné dans ses écrits. Et au 12ème siècle, Moïse Maïmonide, un rabbin et médecin juif, a prescrit du bouillon de poulet aux patients souffrant de rhume et d'asthme, pour lequel le bouillon de poulet a ensuite été surnommé "pénicilline juive".
On croyait auparavant que le bouillon de poulet non seulement renforce le corps, mais guérit même la lèpre. Cependant, d'autres variétés de bouillons avaient également des propriétés curatives. Par exemple, le bouillon de cochon de lait était utile pour les migraines. Le bouillon de perdrix, bouilli sans peau, provoquait la constipation, et dans la peau, au contraire, la guérissait. Une décoction de viande de poulet et de coq n'était pas moins efficace pour ramollir les selles. Enfin, le bouillon de viande et de graisse de poulet était considéré comme un excellent remède contre les hémorroïdes.
Les bouillons d'os sont très appréciés des personnes à la diète paléo qui essaient de manger comme les anciens peuples du paléolithique. Selon eux, les bouillons avec os étaient un élément indispensable du menu des chasseurs-cueilleurs.
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