Parce que la soie de maïs crée un effet cholérétique, elle peut déclencher le mouvement des calculs dans la vésicule biliaire et les conduits. Les grains de maïs bouillis sont relativement difficiles à digérer, les personnes souffrant de problèmes gastro-intestinaux (indigestion, ulcères, augmentation de la formation de gaz) doivent donc être utilisées avec prudence.
Les menaces potentielles liées à la consommation de maïs incluent sa capacité à augmenter la coagulation et la viscosité du sang. De plus, le ralentissement du flux sanguin est l'une des causes de la thrombophlébite, il est donc préférable pour les personnes souffrant de tels problèmes circulatoires de consulter un professionnel de la santé avant d'inclure le maïs dans leur alimentation. Peut-être qu'une alimentation équilibrée riche en acides aminés (en particulier en taurine) réduira le risque.
L'absence d'iode dans le gruau de maïs affecte négativement l'état de la glande thyroïde. Plus précisément, le maïs lui-même en tant que produit n'augmente pas le risque de goitre, mais la transition forcée vers des régimes à base de maïs à long terme dans l'histoire a déjà conduit à une augmentation régionale des maladies thyroïdiennes. En particulier, pendant les années de famine dans le nord de l'Italie, la bouillie de maïs locale - polenta (polenta) - en raison de sa valeur nutritionnelle a aidé les habitants à survivre, cependant, le manque d'iode suffisant dans l'alimentation quotidienne au fil du temps a conduit à une augmentation dans les maladies provoquées par ce facteur.
Mais la consommation monotone et la surconsommation de produits à base de maïs avec du sucre ajouté (céréales, bâtonnets, pop-corn, chips) ne concernent pas tant la nocivité du maïs lui-même que les abus et les extrêmes de la nutrition en général.
Le sirop de glucose-fructose, créé à partir de maïs, menace également, tout d'abord, un excès de fructose raffiné dans la composition, ce qui nuit au cerveau et crée les conditions préalables à la formation de tumeurs. De plus, il « nourrit » les tumeurs existantes, ce qui les fait croître plus rapidement. Il existe des études montrant que ce sirop augmente le risque de développer une cirrhose et une fibrose chez les personnes atteintes d'hépatose graisseuse. Par conséquent, le sirop de maïs ne doit absolument pas remplacer le sucre (comme il est parfois recommandé).
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