L’oncologie est un sujet très complexe et vaste, et il est impossible de distinguer un produit anticancéreux unique. Il existe de nombreuses études différentes sur l’influence de l’alimentation sur le développement du cancer, mais elles sont ambiguës.
Par exemple, il n’y avait aucun lien entre la consommation de tous types de noix, d’arachides et de beurre de cacahuète et le risque de développer un cancer du pancréas.
Cependant, les analyses de certaines études ont démontré que le niveau de consommation totale de noix le plus élevé (≥10 g/jour) était associé à une réduction de 45 % du risque de certains sous-types de cancer du sein par rapport au niveau de consommation le plus faible (0 g/jour). . Mais la consommation de noix n’était pas associée à l’incidence d’autres sous-types de cancer du sein ni au risque global de cancer du sein.
Ainsi, malgré la présence d’antioxydants, de graisses saines, de phytostérols et de fibres alimentaires dans les noix, une relation claire entre la consommation de noix et la prévention du cancer n’a pas encore été établie.
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